bébé est intéressant car il est tout neuf et c'est au moment de sa naissance que démarrent les rythmes : c'est la raison pour laquelle il est toujours nécessaire de connaître la date de naissance si l'on veut calculer une situation biorythmique : il faut pouvoir compter le nombre de jours écoulés depuis le jour de naissance... (voir plus loin un graphique concernant un bébé qui vient de naître - tiré de http://biorythm.online.fr/w/ )
les biorythmes permettent d'observer bébé et de mieux comprendre certaines de ses réactions et comportements... et cela peut être important puisque par exemple les pleurs de bébé sont souvent liés au jour critique physique lorsqu'ils sont importants et inhabituels : cela est dû au fait que le jour critique physique on se sent moins à l'aise, moins bien, parfois mal... et bébé ne pouvant parler, eh bien il pleure. et les pleurs ont tendance à démarrer dès le soir la veille du jour critique, puis ils peuvent se poursuivre pour une nuit d'insomnie : l'impossibilité de dormir est aussi une particularité du jour critique physique biorythmique, et par là, une cause des pleurs de bébé.
il y a aussi ce que certains appellent les "pleurs crépusculaires" ou "pleurs de délestage", parce qu'ils ont tendance à avoir lieu en soirée, souvent... cela demanderait bien entendu à être étudié de plus près, mais je pense que les pleurs "crépusculaires" sont liés à l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique : c'est une sorte de pic physique et émotionnel par lequel nous passons tous aux alentours de 18 heures, le soir ; la journée biorythmique semble en effet aller de 18 H à 18 H et non pas de 0H à 0H comme notre journée officielle. nous finissons et démarrons donc notre journée "biologique" chaque soir vers 18 heures... et bébé encore très "nature", le ressent particulièrement...
la raison que j'ai trouvée pour ce décalage pourrait être assez simple : un vestige qui est resté "inscrit dans nos gènes" depuis notre "enfance de l'humanité" lorsque à l'équateur - d'où nous sommes récemment issus - la journée était de 12 heures de jour suivie de 12H de nuit avec une charnière placée à 6 heures et à 18 heures... avec de l'expérience on ressent d'ailleurs parfaitement la "charnière" de 6 heures du matin aussi.
Bébés secoués :
on a remarqué que statistiquement la courbe des bébés secoués correspondait à la courbe des pleurs de bébé : bien sûr puisque souvent le bébé est secoué par un parent ou un gardien qui craque, exaspéré par les pleurs incessants et impossibles à calmer... mais ce que l'on n'a pas encore remarqué c'est que la courbe des pleurs correspond au cycle physique des biorythmes de 23 jours et à ses quatre jours critiques.
l'observation de ces rythmes permet par conséquent d'éviter le syndrôme du bébé secoué : on sait à l'avance que bébé peut beaucoup pleurer ce jour là, qu'il peut ne pas avoir envie de dormir, et on peut donc en tenir compte sans s'énerver ni paniquer, puisqu'on est prévenu...
certains bébés donnent carrément l'impression d'être malades leur jour critique physique (certains ont un peu de fièvre ce jour là car il s'agit d'un jour de "remue-ménage" de l'organisme) : le problème est alors de savoir à partir de quel moment çà devient sérieux et qu'il faut aller consulter ; mais je trouve que l'on peut mieux estimer la situation quand même, si l'on connaît les réactions aux rythmes naturels de son bébé.
important aussi : un second élément à observer est la situation cyclique du parent ou gardien de l'enfant : parent ou gardien sera plus susceptible de s'énerver voire "craquer" s'il se trouve lui-même dans son jour critique émotionnel, parfois "jour des nerfs à fleur de peau"... ou dans l'une de ses périodes critiques septennales...
Mort Subite du Nourrisson (MSN) :
un autre élément important et plus inquiétant - mais fort heureusement exceptionnel (sauf erreur environ un bébé sur mille), c'est que la MSN (mort subite du nourrisson) est également liée au jour critique physique du cycle physique de 23 jours de nos biorythmes. je l'ai remarqué en analysant un certain nombre de cas que j'ai pu trouver : 70 à 80 % sinon plus, c'est selon l'interprétation) des MSN sont arrivées un jour critique physique ou autour de ce jour : cela me semble compréhensible dans la mesure où le jour critique physique est un "jour de débrayage de l'énergie de notre organisme". or l'organisme d'un petit bébé est, si l'on peut dire comme çà, encore "en rodage"... c'est ainsi que le jour critique physique peut être jour de pleurs et d'insomnies, mais il peut aussi être jour de "coup de barre"...
et bébé, comme nous tous, va passer chaque sixième jour par une sorte de "jour maillon faible". c'est à la science de déterminer ce qui fait fonctionner cette sorte d'électro-cardiogramme qu'est le cycle physique de 23 jours, avec ses "downs" réguliers chaque sixième jour : cela permettrait certainement de mieux comprendre pour quelles raisons arrivent les MSN.
bien moins souvent - mais je ne sais l'expliquer - j'ai trouvé le jour critique émotionnel, aussi, lors de certaines MSN.
on peut voir aussi à ce sujet http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2010/10/mort-subite-du-nourrisson.html
surveiller bébé d'un peu plus près ses jours critiques peut être très utile. et il y a diverses façons de procéder :
- on peut vérifier un graphique biorythmique en cas de problème. bébé pleure beaucoup et inhabituellement aujourd'hui et il ne veut pas dormir ?
regardons si son graphique biorythmique indique un jour en P (P1 - P6/P7 - P12 - P18/P19) : dans ce cas c'est "naturel" et il faudra être patient et le dorloter un peu plus, un peu moins l'abandonner dans son berceau ou son lit et le prendre contre soi : notre pile à nous, va aider bébé à se sentir moins seul... les anciens - certains peuples le font toujours - ne se séparaient pas de leur bébé et le lien ne s'arrêtait pas brutalement après l'accouchement : bébé restait en permanence fixé à sa maman... par portage... : le contact et le rythme du bercement, le mouvement et le bruit de la vie (plus que le silence et l'immobilité d'une chambre d'enfant, qui pourrait parfois être perçu comme un signal d'abandon) est important pour un nouvel être qui n'est pas encore tout à fait autonome.
- on peut repérer à l'avance les jours critiques de bébé : on ne sera donc guère surpris le jour où il pleurera un peu plus, voire beaucoup, et sera insomniaque...
- connaître à l'avance les jours critiques ou les vérifier en cas de situation à stress (pleurs importants) permet alors de comprendre et se maîtriser : surtout ne pas secouer bébé parce qu'il pleure... cela ne le calmera pas et c'est dangereux. patience : le jour critique physique est un état cyclique naturel qui dure de quelques heures à une journée. prudence en cas d'auto-médication certaines mamans ayant tendance à vouloir calmer le bébé au moyen de médicaments... un jour critique physique est une sorte de petit "coup de barre" pour bébé. il n'est alors pas prudent - mais c'est là mon avis tout à fait personnel - de donner un coup de barre supplémentaire : consultez votre médecin (le problème... et le comble... étant qu'il ne connaît pas le mécanisme des biorythmes - auxquel la médecine ne s'intéresse pas aujourd'hui - alors que c'est pourtant un de ses collègues qui l'a découvert aux alentours de 1900 déjà ... un peu grâce aux bébés qui pleuraient ou avaient l'air d'être mals... à intervalles réguliers :-).
personnellement encore, j'aurais tendance à ne pas faire vacciner bébé un jour critique physique ou juste avant (pour éviter coup de barre sur coup de barre, justement) certaines associations allemandes disant avoir fait un rapport entre certains cas de msn et la vaccination...
- et la msn ? il est difficile de prévoir et d'éviter une mort subite du nourrisson puisqu'elle arrive "par surprise", on ne sait pas encore pourquoi ni comment. mais comme j'ai constaté qu'elle avait tendance à arriver le jour critique physique on aura compris que l'observation de bébé ce jour là, la prise en compte de ses pleurs, fatigues ou insomnies au moyen d'un peu plus d'attention peut certainement apporter quelque chose. attention aussi de ne pas en arriver à la situation inverse et trop s'inquiéter... sachant que le jour critique physique de nos cycles humains fonctionne à la manière d'un tic tac régulier puisque nous en avons un chaque sixième jour de notre vie, quand même...
un exemple de rythme d'un bébé qui vient de naître, le 1er novembre 2009 :
http://biorythm.online.fr/w/
ses "jours critiques physiques" (P) et donc "jours de pleurs inhabituels possibles" sont :
P 6 : (le 6ème jour après la naissance - jour non marqué mais situé avant son voisin suivant P7 : les deux sont à considérer comme fonctionnant par paire - c'est l'un ou l'autre et parfois les deux pour partie - cela reste à éclaircir)
P 7 : va de pair avec son voisin précédent P6 ci-dessus.
P12 - (jour du milieu du cycle qui comprend 23 jours)
P18 et P19 (ce dernier non marqué mais ce "couple" fonctionne comme P6 et P7)
P 1 : après le 23ème jour du cycle, tout recommence avec à nouveau un jour P1 premier jour d'un nouveau cycle et ainsi de suite... tout au long de la vie.
un mot au sujet des jours marqués E et I (i majuscule) :
E sont des jours importants également : ce sont nos "jours critiques émotionnels" ; ils sont hebdomadaires et fonction d'un cycle psychique et émotionnel qui induit un jour de "sensibilité émotionnelle" chaque septième jour de notre vie. s'agissant d'un cycle psychique de sept jours, nous aurons tous notre "jour critique émotionnel" toujours le jour de la semaine où nous sommes nés, en raison de ce mécanisme de pulsation de sept jours.
bébé né un mardi aura sa vie durant son jour critique émotionnel un mardi : si ce jour a des conséquences moins visibles dans la vie d'un petit bébé (c'est son "jour de possible "mélancolie") il prendra de plus en plus d'importance lorsque bébé grandira.
i ou plus précisément I sont nos "jours critiques intellectuels" : il s'agit d'un cycle qui régit la pensée et qui est très subtil chez un nouveau né... c'est de toute façon un cycle qui demande encore à être étudié, et dont je ne sais pas grand chose.
et maman, papa... et les gardiens éventuels... ?
gagnent eux aussi à connaître leurs rythmes personnels... c'est même important...
nos rapports avec bébé : nos cycles ont une incidence sur notre humeur, notre forme physique et psychique... et il est donc compréhensible qu'ils influent dans nos relations avec notre bébé, nos enfants...
observer nos cycles nous permet de comprendre et nous maîtriser lors de nos possibles moments d'angoisse... ou de mauvaise humeur... il n'y a pas de raison d'en faire bénéficier les autres...
bébé secoué : les bébés ont tendance à être secoués lorsque le parent ou le gardien "craque" or on peut craquer lorsque l'on se trouve en jour ou période critique, surtout... plus qu'à un autre moment. il est donc, là aussi, utile de connaître ses moments critiques afin de maîtriser toutes les situations.