dépression septennale

la dépression septennale est, parmi les dépressions, l'une des dépressions graves et de longue durée très courantes. elle survient, parfois sans raison précise (puisqu'elle est liée à un cycle psychique et émotionnel à pulsations septennales, probablement d'origine hormonales, je pense) au moment de l'approche ou de l'entrée dans un âge septennal, c'est à dire plus précisément six mois avant l'arrivée d'un âge de la table de sept. ou encore elle sévit autour de cet âge septennal, se décalant parfois en fonction des individualités et des situations. il s'agit en fait d'une dépression de la "période critique septennale".

c'est ainsi qu'une personne peut sombrer dans une profonde dépression et/ou devenir "différente", aux alentours de ses 13/14 ans, 20/21 ans, 27/28 ans, 34/35 ans, 41/42 ans, 48/49 ans, 55/56 ans, 62/63 ans 69/70 ans, 76/77 ans, 82/84 ans... phénomène qui va durer de quelques semaines à quelques mois mais qui peut parfois durer des années... ce sont des dépressions longues et graves qui, si elles ne sont pas bien comprises, peuvent parfois déboucher sur des drames (violences, suicides) et dans les familles elles sont la cause de nombreuses mésententes et séparations.

si leur particularité est la proximité d'un âge septennal, les symptômes sont ceux d'une grosse dépression, l'isolement et le renfermement sur soi, un sentiment d'inutilité, la disparition de toute motivation et une envie de ne rien faire, tendance à dormir souvent, envie de suicide, tristesse, anxiété, angoisse... le changement de personnalité peut faire partie, au point "qu'on ne reconnaît plus la personne" (dans un couple par exemple). la dépression septennale peut entraîner une sorte de métamorphose momentanée : il peut naître de l'irritabilité, de l'agressivité... on peut aussi devenir provocateur et destructeur, et dans les cas extrêmes c'est la période où certains peuvent "disjoncter" comme on dit parfois communément... .
la dépression septennale est parfois diagnostiquée comme de la schizophrénie ou un trouble bipolaire : il y a de cela mais la particularité est qu'elle arrive et persiste le plus souvent à une période pouvant durer de quelques mois à deux années, le début se situant souvent assez précisément six mois avant un anniversaire septennal... la dépression septennale peut devenir "à gros risque" chez une personne aux tendances suicidaires, car elle va pouvoir parfois la convaincre d'avoir trouvé LA solution...

la dépression a tendance à se dissiper après la fin de la période critique septennale, sauf si la personne reste prisonnière dans une camisole "psychique" ou ... chimique, ce qui l'empêche alors de revenir à la réalité : c'est hélas parfois le cas. cela fait alors durer la dépression bien plus longtemps qu'elle ne le devrait... parfois même jusqu'à la période critique septennale suivante... (dans sept années !)
il peut aussi y avoir "rechute" (après une longue période de rétablissement), lors de l'arrivée de la période critique septennale suivante, mais ce n'est pas très courant.
les "downs" du trouble bipolaire correspondent souvent aux périodes critiques septennales, le trouble bipolaire étant entre autre un trouble de notre cycle psychique et émotionnel.
les "incidents" liés à la schizophrénie arrivent aussi fréquemment lors des périodes critiques septennales mais aussi surtout le jour critique émotionnel, cette maladie semblant également - comme nombre d'autres - avoir un lien étroit avec nos cycles psychiques.

nous passons tous par une dizaine de périodes critiques septennales tout au long de notre vie : l'une ou l'autre peut poser des problèmes plus sérieux, (c'est individuel et fonction des éléments et événements de notre vie) mais d'ordinaire, et dans l'ensemble heureusement, elles se passent sans trop de perturbations. la dépression septennale est l'un des aspects problématiques de la période critique septennale, mais cette dernière revêt souvent des aspects largement positifs aussi, puisqu'elle est en réalité destinée à nous "pousser à" bouger, changer, évoluer... à nous transformer... (l'exemple le plus impressionnant étant les perturbations et transformations opérées au moment de la période critique septennale de l'adolescence (période critique des 14 ans) : nos autres périodes critiques septennales sont un peu pareilles, mais en moins extrême, moins visible...)

nos périodes septennales sont, pour cela, accompagnées d'un effet de pulsions (qui va nous pousser, parfois nous "bousculer", et d'une désinhibition (qui va nous faciliter nos entreprises : nous avons moins peur d'entreprendre).
la dépression septennale (elle n'est heureusement pas systématique, bien sûr) peut survenir parfois sans raison apparente, le moment venu... mais elle survient probablement aussi parce que du fait de cet effet de pulsions nous sommes bousculés alors que nous ne savons peut-être pas vers où, vers quoi aller...

la dépression peut aussi être déclenchée s'il intervient un traumatisme lors d'un moment propice ou moment à risque (par exemple un deuil, un échec, ou autre événement qui va nous toucher...) elle peut rester "en sommeil" et être latente, puis se déclencher ensuite, ce qui explique certaines graves dépressions qui arrivent avant (prématurément en quelque sorte) ou après une période critique septennale (tardivement, donc). on peut faire le lien en général en raison de la gravité et de la ténacité d'une dépression.

la dépression septennale a la particularité que l'on peut la reconnaître et surtout la voir venir A L'AVANCE puisque l'on connait les moments où elle peut survenir. c'est un élément important de prévention que de connaître à l'avance le risque et le moment du risque, car cela peut aider à parfois l'atténuer voire le désamorcer... on peut se "préparer psychologiquement" à la situation...
la dépression septennale est aussi, dans les conditions habituelles, "à durée déterminée" (puisque liée aux pulsions momentanées de la "période critique septennale" de notre cycle psychique et émotionnel).

des études seraient instructives, qui prendraient en compte le moment de l'arrivée d'une dépression, (âge précis), sa durée, puis sa "disparition", ses causes éventuelles aussi... : cela permettrait certainement de faire apparaître la cyclicité dont je parle.