je reprends des suggestions que j'avais faites il y a un moment déjà de nous intéresser aux cycles des biorythmes.
même si ceux-ci sont souvent galvaudés, ils sont d'une bonne efficacité lorsqu'il s'agit d'expliquer certains comportements accidentogènes et erreurs humaines.
observés et pris en compte à l'avance ils devraient permettre d'éviter un certain nombre de ces accidents parfois dramatiques.
à l'époque de la "mode" des biorythmes, dans les années 70, certaines entreprises japonaises - et d'autres aussi - avaient essayé de faire de la prévention en remettant à leurs chauffeurs et employés leur graphique biorythmique à la fin de chaque mois, avec la fiche de paie...
apparemment çà n'a pas eu de résultat probant car l'opération ne semble pas avoir été poursuivie.
et pourtant je pense que l'on gagnerait à reprendre le sujet et à y regarder de plus près...
il y avait une lacune, à l'époque, dans l'interprétation des rythmes, qui ne prenait en compte que deux à trois jours critiques alors qu'il y a en réalité quatre jours/épisodes critiques dans le cycle physique de 23 jours des biorythmes.... ce quatrième jour était, à l'époque, (et aujourd'hui encore) considéré comme un "bon jour" alors qu'il ne l'est pas : il est également un jour "critique" donc "à risque", et c'est ce qui a faussé tous les résultats, apparemment.
il y a par ailleurs deux autres rythmes à prendre en compte.
les situations "à risque" :
- situation en jour critique physique du rythme physique des biorythmes de 23 jours :
- situation en jour critique émotionnel du rythme psychique et émotionnel de 28 jours.
- situation en période critique septennale.
- situation en jour critique intellectuel (surtout premier jour de ce rythme de 33 jours donc i1)
et leurs effets :
- en jour critique physique nous pouvons être plus fatigués que d'ordinaire, plus distraits, oublieux, et nous pouvons avoir des réactions moins rapides qu'un autre jour, voire réactions tardives ou carrément absentes...
- en jour critique émotionnel nous pouvons être préoccupés par des tas de choses et nous avons la tête ailleurs et nous pouvons aussi être tristes ou de mauvaise humeur (colère, cafard) : cela peut avoir pour conséquence que nous ne faisons pas parfaitement attention et nous fions trop à notre "pilote automatique" ou encore avons des comportements carrément agressifs...
- en période critique septennale c'est un peu comme le jour critique émotionnel : une période qui peut être perturbante et nous "accapare" ; de ce fait notre attention peut être réduite. nous avons des tas de préoccupations auxquelles nous réfléchissons, nous pouvons aussi avoir beaucoup de moments de mélancolie et de questionnements très divers au sujet d'un tas choses que nous avons envie de remettre en cause, nous pouvons être physiquement moins en forme, parfois en colère, et cela va nous perturber et nous distraire... voire nous rendre agressifs...
- en jour critique intellectuel c'est notre cerveau et notre façon de penser qui peut influer sur nos réactions, notamment du point de vue de la rapidité de réaction (j'ai trouvé pas mal ce jour lors d'accidents en courses automobiles)
prévention, en pratique... ce que l'on peut faire :
c'est en réalité assez simple mais question de volonté et d'organisation : en connaissant sa situation à l'avance, par exemple avant de prendre le volant, (mais aussi dans d'autres circonstances comme par exemple au travail), on sait que si l'on se trouve dans un jour critique physique, dans un jour critique émotionnel ou dans une période critique septennale... il nous faut être particulièrement prudents et vigilants, redoubler d'attention. c'est tout.
et une situation cyclique est facile à connaître à l'avance :
- le jour critique physique et le jour critique intellectuel se lisent sur un graphique biorythmique... http://biorythm.online.fr/w/ (les jours en P et les jours en I)
ces jours sont (par ordre d'importance) :
P1 (jour fort)
P18/P19 (un "down" fort que cette paire là, ou l'un ou l'autre des deux)
P12
P6/P7 (c'est selon les personnes et leur situation l'un ou l'autre ou partie des deux)(jours critiques les "moins forts" : ce sont d'ailleurs eux qui sont considérés encore aujourd'hui comme "positifs" alors que d'après mes observations ils ne le sont pas)
- le jour critique émotionnel idem, et il suffit de se rappeler une fois pour toutes que c'est le jour de la semaine où nous sommes nés (les jours en E sur le graphique)
(attention la criticité démarre déjà la veille au soir d'un jour critique physique et émotionnel, parfois par un pic de criticité)
- la période critique septennale est la période autour de nos anniversaires de la table de sept, donc également très simple à repérer...
je pense que si l'on faisait des statistiques avec les "accidents arrivés" (accidents en tout genre liés à une "erreur humaine") ce sont ces jours-là que l'on trouverait : il serait donc facile de vérifier la théorie avant de suggérer de l'appliquer, si, comme je le pense elle s'avère efficace...
en fait l'idée de remettre un graphique biorythmique aux personnes, ou de s'en procurer un (facile car il suffit d'un ordinateur et d'une imprimante) est intéressante et simple à mettre en oeuvre. le reste est une question d'habitude : personnellement - sans en faire une obsession - je regarde toujours ma situation lorsque je prends le volant pour un trajet plus long... cela me permet de redoubler de prudence les jours où je risque de "moins assurer"...
une attention à deux autres points particuliers dont j'ai remarqué qu'ils peuvent jouer un rôle perturbateur :
la proximité de notre anniversaire, et un apparent "pic de criticité" qui se situerait aux alentours de 18 heures, moment d'entrée dans la journée chronobiologique du lendemain. ceci restant cependant à confirmer et préciser au moyen de plus amples études...
observés et pris en compte à l'avance ils devraient permettre d'éviter un certain nombre de ces accidents parfois dramatiques.
à l'époque de la "mode" des biorythmes, dans les années 70, certaines entreprises japonaises - et d'autres aussi - avaient essayé de faire de la prévention en remettant à leurs chauffeurs et employés leur graphique biorythmique à la fin de chaque mois, avec la fiche de paie...
apparemment çà n'a pas eu de résultat probant car l'opération ne semble pas avoir été poursuivie.
et pourtant je pense que l'on gagnerait à reprendre le sujet et à y regarder de plus près...
il y avait une lacune, à l'époque, dans l'interprétation des rythmes, qui ne prenait en compte que deux à trois jours critiques alors qu'il y a en réalité quatre jours/épisodes critiques dans le cycle physique de 23 jours des biorythmes.... ce quatrième jour était, à l'époque, (et aujourd'hui encore) considéré comme un "bon jour" alors qu'il ne l'est pas : il est également un jour "critique" donc "à risque", et c'est ce qui a faussé tous les résultats, apparemment.
il y a par ailleurs deux autres rythmes à prendre en compte.
les situations "à risque" :
- situation en jour critique physique du rythme physique des biorythmes de 23 jours :
- situation en jour critique émotionnel du rythme psychique et émotionnel de 28 jours.
- situation en période critique septennale.
- situation en jour critique intellectuel (surtout premier jour de ce rythme de 33 jours donc i1)
et leurs effets :
- en jour critique physique nous pouvons être plus fatigués que d'ordinaire, plus distraits, oublieux, et nous pouvons avoir des réactions moins rapides qu'un autre jour, voire réactions tardives ou carrément absentes...
- en jour critique émotionnel nous pouvons être préoccupés par des tas de choses et nous avons la tête ailleurs et nous pouvons aussi être tristes ou de mauvaise humeur (colère, cafard) : cela peut avoir pour conséquence que nous ne faisons pas parfaitement attention et nous fions trop à notre "pilote automatique" ou encore avons des comportements carrément agressifs...
- en période critique septennale c'est un peu comme le jour critique émotionnel : une période qui peut être perturbante et nous "accapare" ; de ce fait notre attention peut être réduite. nous avons des tas de préoccupations auxquelles nous réfléchissons, nous pouvons aussi avoir beaucoup de moments de mélancolie et de questionnements très divers au sujet d'un tas choses que nous avons envie de remettre en cause, nous pouvons être physiquement moins en forme, parfois en colère, et cela va nous perturber et nous distraire... voire nous rendre agressifs...
- en jour critique intellectuel c'est notre cerveau et notre façon de penser qui peut influer sur nos réactions, notamment du point de vue de la rapidité de réaction (j'ai trouvé pas mal ce jour lors d'accidents en courses automobiles)
prévention, en pratique... ce que l'on peut faire :
c'est en réalité assez simple mais question de volonté et d'organisation : en connaissant sa situation à l'avance, par exemple avant de prendre le volant, (mais aussi dans d'autres circonstances comme par exemple au travail), on sait que si l'on se trouve dans un jour critique physique, dans un jour critique émotionnel ou dans une période critique septennale... il nous faut être particulièrement prudents et vigilants, redoubler d'attention. c'est tout.
et une situation cyclique est facile à connaître à l'avance :
- le jour critique physique et le jour critique intellectuel se lisent sur un graphique biorythmique... http://biorythm.online.fr/w/ (les jours en P et les jours en I)
ces jours sont (par ordre d'importance) :
P1 (jour fort)
P18/P19 (un "down" fort que cette paire là, ou l'un ou l'autre des deux)
P12
P6/P7 (c'est selon les personnes et leur situation l'un ou l'autre ou partie des deux)(jours critiques les "moins forts" : ce sont d'ailleurs eux qui sont considérés encore aujourd'hui comme "positifs" alors que d'après mes observations ils ne le sont pas)
- le jour critique émotionnel idem, et il suffit de se rappeler une fois pour toutes que c'est le jour de la semaine où nous sommes nés (les jours en E sur le graphique)
(attention la criticité démarre déjà la veille au soir d'un jour critique physique et émotionnel, parfois par un pic de criticité)
- la période critique septennale est la période autour de nos anniversaires de la table de sept, donc également très simple à repérer...
je pense que si l'on faisait des statistiques avec les "accidents arrivés" (accidents en tout genre liés à une "erreur humaine") ce sont ces jours-là que l'on trouverait : il serait donc facile de vérifier la théorie avant de suggérer de l'appliquer, si, comme je le pense elle s'avère efficace...
en fait l'idée de remettre un graphique biorythmique aux personnes, ou de s'en procurer un (facile car il suffit d'un ordinateur et d'une imprimante) est intéressante et simple à mettre en oeuvre. le reste est une question d'habitude : personnellement - sans en faire une obsession - je regarde toujours ma situation lorsque je prends le volant pour un trajet plus long... cela me permet de redoubler de prudence les jours où je risque de "moins assurer"...
une attention à deux autres points particuliers dont j'ai remarqué qu'ils peuvent jouer un rôle perturbateur :
la proximité de notre anniversaire, et un apparent "pic de criticité" qui se situerait aux alentours de 18 heures, moment d'entrée dans la journée chronobiologique du lendemain. ceci restant cependant à confirmer et préciser au moyen de plus amples études...